La vision du CEP
Pour une vision du monde inspirée de la Révélation.
Cloisonnés dans leurs discipline et bridés par leurs théories, les hommes de science parviennent souvent mal à entrevoir le sens de leurs recherches. De plus en plus, c’est de sens que le monde a besoin en ce début de millénaire, anxieux qu’il est de savoir où le mènent des découvertes toujours plus perfectionnées et plus dangereuses. Le sens seul permet de s’élever jusqu’à la contemplation d’un ordre intégrant toutes les vérités, lesquelles se tiennent et s’appellent mutuellement.
De même que l’ingénieur connaît le mieux le fonctionnement de l’objet qu’il a conçu, ainsi qui est le plus à même de nous renseigner sur l’Univers, sur son contenu et sur la loi qui le régit, sinon son créateur ? En imposant d’étudier la nature, les sociétés et leur histoire comme si Dieu n’existait pas, un laïcisme mal compris a privé les chercheurs des lumières les plus hautes, donc les plus utiles en définitive. Alors que des hypothèses extravagantes ont droit de cité, on refuse d’office, avant même de les examiner, les précieuses indications laissées par l’Esprit Saint dans le texte le plus vénéré de l’histoire humaine.
Il y a là un préjugé aussi antiscientifique dans son fondement que stérilisant pour la science elle-même et dévalorisant pour la Religion.
Le C.E.P. se propose, tout à l’inverse, de coordonner les différentes sciences, considérées sans œillères idéologiques réductrices, mais de le faire à la lumière des vérités révélées, afin de rétablir ainsi un pont nécessaire entre la Science et la Foi.
Pour une vision du monde inspirée de la Révélation.
Cloisonnés dans leurs discipline et bridés par leurs théories, les hommes de science parviennent souvent mal à entrevoir le sens de leurs recherches. De plus en plus, c’est de sens que le monde a besoin en ce début de millénaire, anxieux qu’il est de savoir où le mènent des découvertes toujours plus perfectionnées et plus dangereuses. Le sens seul permet de s’élever jusqu’à la contemplation d’un ordre intégrant toutes les vérités, lesquelles se tiennent et s’appellent mutuellement.
De même que l’ingénieur connaît le mieux le fonctionnement de l’objet qu’il a conçu, ainsi qui est le plus à même de nous renseigner sur l’Univers, sur son contenu et sur la loi qui le régit, sinon son créateur ? En imposant d’étudier la nature, les sociétés et leur histoire comme si Dieu n’existait pas, un laïcisme mal compris a privé les chercheurs des lumières les plus hautes, donc les plus utiles en définitive. Alors que des hypothèses extravagantes ont droit de cité, on refuse d’office, avant même de les examiner, les précieuses indications laissées par l’Esprit Saint dans le texte le plus vénéré de l’histoire humaine.
Il y a là un préjugé aussi antiscientifique dans son fondement que stérilisant pour la science elle-même et dévalorisant pour la Religion.
Le C.E.P. se propose, tout à l’inverse, de coordonner les différentes sciences, considérées sans œillères idéologiques réductrices, mais de le faire à la lumière des vérités révélées, afin de rétablir ainsi un pont nécessaire entre la Science et la Foi.
La revue Le CEP :
Depuis sa fondation en 1997, le CEP édite chaque trimestre une revue, traitant de sciences humaines et naturelles, de philosophie et même de poésie, rassemblant les contributions d'auteurs variés compatibles avec l'esprit du CEP. En somme, c'est une revue de culture générale accessible et compréhensible pour des lecteurs de tous niveaux.
Pour vous abonner (4 numéros par an), rendez-vous sur le site du CEP : https://le-cep.org/produit/abonnement-annuel/
Pour retrouver gratuitement par thématique ou par auteur les plus anciens numéros de la revue, lesquels sont progressivement mis en ligne, rendez-vous également sur le site du CEP : https://le-cep.org/categories/
Depuis sa fondation en 1997, le CEP édite chaque trimestre une revue, traitant de sciences humaines et naturelles, de philosophie et même de poésie, rassemblant les contributions d'auteurs variés compatibles avec l'esprit du CEP. En somme, c'est une revue de culture générale accessible et compréhensible pour des lecteurs de tous niveaux.
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Le CEP
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Pour les abonnés, le dernier numéro paru est celui de décembre 2023, qui comporte les articles suivants.
Le Cep n° 105 -
Dominique Tassot - L'homme est-il voué au bonheur ?
Hugh Owen - Lettre ouverte au Conseil de Surveillance du comté de Warren
Claude Timmerman - Vaudou : retour en force en Afrique de l'Ouest de la tradition animiste ?
C. Duchesne - L'hypnose est-elle inoffensive ?
Philippe Lauria - L'esprit, l'âme, le corps. De quelques méprises ou hérésies au sujet de la triplicité anthropique moderne
B. Primavère - Autoportrait d'un éléphant d'Afrique
J.-M. Mathieu - Poème : Hymne au troupeau
Recension - être le patron. Le pouvoir de la subsidiarité pour faire avancer les choses, par Ian Wilders
Recension - Regard de la foi sur l'évolution. L'origine de l'homme d'après les Pères de l'Église, par Anne-Edgar Wilke
Recension - La révolution franciscaine, par Philippe Prévost.
Le Cep n° 105 -
Dominique Tassot - L'homme est-il voué au bonheur ?
Hugh Owen - Lettre ouverte au Conseil de Surveillance du comté de Warren
Claude Timmerman - Vaudou : retour en force en Afrique de l'Ouest de la tradition animiste ?
C. Duchesne - L'hypnose est-elle inoffensive ?
Philippe Lauria - L'esprit, l'âme, le corps. De quelques méprises ou hérésies au sujet de la triplicité anthropique moderne
B. Primavère - Autoportrait d'un éléphant d'Afrique
J.-M. Mathieu - Poème : Hymne au troupeau
Recension - être le patron. Le pouvoir de la subsidiarité pour faire avancer les choses, par Ian Wilders
Recension - Regard de la foi sur l'évolution. L'origine de l'homme d'après les Pères de l'Église, par Anne-Edgar Wilke
Recension - La révolution franciscaine, par Philippe Prévost.
Prochaine conférence du président du CEP, Dominique TASSOT :
LA TERRE A-T-ELLE 10 000 ANS ?
Date : vendredi 9 février 2024
Lieu : Salle Simone Veil, 85 avenue de Beaugaillard, 37550 Saint-Avertin (près de Tours)
Inscription : [email protected] (PAF : 5 €)
https://le-cep.org/actualite/
LA TERRE A-T-ELLE 10 000 ANS ?
Date : vendredi 9 février 2024
Lieu : Salle Simone Veil, 85 avenue de Beaugaillard, 37550 Saint-Avertin (près de Tours)
Inscription : [email protected] (PAF : 5 €)
https://le-cep.org/actualite/
Arthur Eddington, cet astrophysicien anglais à la fois célèbre et méconnu, passe pour avoir dit : « La physique moderne aura fait un grand pas en avant lorsqu’elle aura renoué avec le sens commun. » Loin d’être une simple boutade, il s’agit d’un tragique constat d’échec. Mais la physique n’est pas la seule discipline dans ce cas, loin de là ! Il faut citer l’agronomie, l’économie, l’écologie et, bien sûr, toutes les sciences dites « humaines ». La Journée du CEP, à Paris, permettra de s’en rendre compte mais aussi et surtout de montrer que l’issue existe.
Quatre conférenciers au programme : Francis Sanchez présentera son livre « Anthropocosmos. Le retour du bon sens en physique » ; Stéphanie Bignon nous donnera « Les clés de la tragédie agricole » et Anna Gepppert « Urbanisme et science : des liaisons dangereuses ». Enfin, David Caron Olivarès clouera définitivement le cercueil du naturalisme avec « Notre-Dame de Guadalupe face à la science ».
Quatre conférenciers au programme : Francis Sanchez présentera son livre « Anthropocosmos. Le retour du bon sens en physique » ; Stéphanie Bignon nous donnera « Les clés de la tragédie agricole » et Anna Gepppert « Urbanisme et science : des liaisons dangereuses ». Enfin, David Caron Olivarès clouera définitivement le cercueil du naturalisme avec « Notre-Dame de Guadalupe face à la science ».
Mercredi 17 avril 2024 se tiendra le lancement officiel de la sortie du livre "Anthropocosmos, le retour du bon sens en physique", de Francis M. Sanchez.
Université Paris 7 (avenue de France, 75013),
bâtiment Sophie Germain, salle 1021
16h00 - 18h00
La séance sera présidée par Jean Maruani, Directeur de recherche au CNRS.
Francis M. Sanchez y présentera son ouvrage et se tiendra disponible pour des dédicaces en fin de séance.
Cet ouvrage relance la recherche scientifique en réhabilitant la théorie oubliée des cordes tachyoniques (allant plus vite que la lumière) et en reliant des domaines mathématiques qu'on croyait séparés.
Surtout, cet ouvrage donne les limites que la science ne peut franchir (création permanente et âge de l'univers indéfini), et remet l'Humain au centre du Cosmos, dont la grandeur et la splendeur lui sont clairement dédiés.
Venez nombreux !
Université Paris 7 (avenue de France, 75013),
bâtiment Sophie Germain, salle 1021
16h00 - 18h00
La séance sera présidée par Jean Maruani, Directeur de recherche au CNRS.
Francis M. Sanchez y présentera son ouvrage et se tiendra disponible pour des dédicaces en fin de séance.
Cet ouvrage relance la recherche scientifique en réhabilitant la théorie oubliée des cordes tachyoniques (allant plus vite que la lumière) et en reliant des domaines mathématiques qu'on croyait séparés.
Surtout, cet ouvrage donne les limites que la science ne peut franchir (création permanente et âge de l'univers indéfini), et remet l'Humain au centre du Cosmos, dont la grandeur et la splendeur lui sont clairement dédiés.
Venez nombreux !
Le XVIIIe siècle s’était présenté comme le siècle cultivant la raison (avec la « philosophie »), les
sciences théoriques et pratiques (avec l’Encyclopédie) et, par-là, le moment où s’ouvrait devant
l’humanité enfin « éclairée » la voie d’un Progrès généralisé. Deux siècles plus tard, il devient
possible de juger l’arbre à ses fruits et les promesses à leurs résultats. Ce colloque du CEP se propose
de dégonfler le mythe d’un progrès automatique en examinant critiquement les faits de la science,
de l’histoire et de la religion.
sciences théoriques et pratiques (avec l’Encyclopédie) et, par-là, le moment où s’ouvrait devant
l’humanité enfin « éclairée » la voie d’un Progrès généralisé. Deux siècles plus tard, il devient
possible de juger l’arbre à ses fruits et les promesses à leurs résultats. Ce colloque du CEP se propose
de dégonfler le mythe d’un progrès automatique en examinant critiquement les faits de la science,
de l’histoire et de la religion.
Lors de ce colloque, sur la science interviendront Christian Bizouard, astronome à
l’Observatoire de Paris, et Bruno Bérard, consultant international en stratégie, philosophe et écrivain
dirigeant une collection à L’Harmattan. Sur l’histoire nous écouterons Ioulia Chanoux, doctorante
travaillant notamment sur l’influence des financiers sur la Révolution dite française et ses suites, et
Marion Sigaut qui, en tant qu’écrivain engagé et historienne, a publié en particulier Mourir à l’ombre
des Lumières. Quant à la guerre moderne, portée désormais à l’échelle industrielle, Jacques Bonnet,
Contrôleur général des Armées (ER) s’interrogera sur le concept de victoire. Sur le plan religieux,
interviendront Maxence Hecquard (connu par les rééditions de son livre Les fondements
philosophiques de la démocratie moderne), Benoît Gandillot, auteur de La Bible, la lettre et le
nombre, et Dominique Tassot qui fera le lien entre le rejet du surnaturel par le rationalisme – devenu
archaïque dès lors que la finalité s’impose en biologie – et l’imposante présence de l’athéisme
contemporain. Car derrière les décors rutilants de la modernité triomphante, se dissimule une
impasse généralisée tant de la pensée, minée par le scientisme et la présomption, que de la vie en
société : en abandonnant la vision chrétienne de l’homme et du monde, en prenant leurs idées pour
des réalités, les héritiers des Lumières sont désormais face à des impasses dans tous les domaines où
l’homme sans Dieu avait cru pourvoir s’élever par lui-même. Autant et peut-être plus que jamais
résonne ce verset évangélique : « Sans moi, vous ne pouvez rien faire » (Jn 15, 5).
l’Observatoire de Paris, et Bruno Bérard, consultant international en stratégie, philosophe et écrivain
dirigeant une collection à L’Harmattan. Sur l’histoire nous écouterons Ioulia Chanoux, doctorante
travaillant notamment sur l’influence des financiers sur la Révolution dite française et ses suites, et
Marion Sigaut qui, en tant qu’écrivain engagé et historienne, a publié en particulier Mourir à l’ombre
des Lumières. Quant à la guerre moderne, portée désormais à l’échelle industrielle, Jacques Bonnet,
Contrôleur général des Armées (ER) s’interrogera sur le concept de victoire. Sur le plan religieux,
interviendront Maxence Hecquard (connu par les rééditions de son livre Les fondements
philosophiques de la démocratie moderne), Benoît Gandillot, auteur de La Bible, la lettre et le
nombre, et Dominique Tassot qui fera le lien entre le rejet du surnaturel par le rationalisme – devenu
archaïque dès lors que la finalité s’impose en biologie – et l’imposante présence de l’athéisme
contemporain. Car derrière les décors rutilants de la modernité triomphante, se dissimule une
impasse généralisée tant de la pensée, minée par le scientisme et la présomption, que de la vie en
société : en abandonnant la vision chrétienne de l’homme et du monde, en prenant leurs idées pour
des réalités, les héritiers des Lumières sont désormais face à des impasses dans tous les domaines où
l’homme sans Dieu avait cru pourvoir s’élever par lui-même. Autant et peut-être plus que jamais
résonne ce verset évangélique : « Sans moi, vous ne pouvez rien faire » (Jn 15, 5).